Sortir de l'exil - Rabbi Shimon ben Yohai

Indispensable le jour du lag Baomer pour faire agréer ses prières et recevoir pardons et  bienfaits

Extrait:

  (1) - car nos Rabbis ont vu les forces du mal en fin d’exil se renforcer si fortement qu’elles finiraient par nous faire oublier la Torah au point de ne plus savoir comment faire les mitsvot, comment mettre les téfilin… comme il est dit (Amos 8,11) « Voici, des jours vont venir, dit l’Eter-nel D.ieu, où j’enverrai la famine dans le pays, ce ne sera une faim de pain ni une soif d’eau, mais le besoin d’entendre les paroles de l’Eter-nel ». Les paroles de l’Eter-nel c’est la halakha que l’on cherchera partout et qu’on ne trouvera point, on deviendra peu à peu des Juifs traditionnels avec toujours de la foi et de l’amour pour D.ieu mais pratiquant la religion d’une façon essentiellement symbolique, se contentant par exemple pour Shabbat de l’allumage des bougies. Et le verset  (Vayikra 26,44 Rashi) « même quand ils seront exilés dans le pays de leurs ennemis, je ne me dégouterai pas d’eux pour les détruire et rompre mon alliance avec eux, car je suis l’Éternel, leur Dieu » vient nous apprendre que D. ieu ne nous échangera pas contre un autre peuple on restera quand même le peuple choisi, mais un peuple impuissant à amener le Mashia’h ‘hvs.